vendredi 24 juin 2011
vendredi 17 juin 2011
QUELQUES CITATIONS ABSURDES
La mort est un état de non-existence. Ce qui n'est pas n'existe pas. Donc la mort n'existe pas |
Si les points de suspension pouvaient parler, ils pourraient en dire des choses et des choses |
Personne n'accepte de conseils ; mais tout le monde acceptera de l'argent : donc l'argent vaut mieux que les conseils.
Dans le méli-mélo, j'ai toujours préféré le meli.
Savoir si l'on aimerait mieux mourir de faim ou de soif est une question qui apparemment plaît toujours
Un sous-marin, pour une baleine, c'est un gros suppositoire. | <><> >>
mardi 14 juin 2011
L'ETRANGER
L’Étranger est un roman d’Albert Camus, paru en 1942. Il prend place dans la trilogie que Camus nommera « cycle de l’absurde » qui décrit les fondements de la philosophie camusienne : l’absurde. Cette trilogie comprend également l’essai philosophique intitulé Le Mythe de Sisyphe ainsi que les deux pièces de théâtre Caligula et Le Malentendu. Le roman a été traduit en quarante langues et une adaptation cinématographique a été réalisée par Luchino Visconti en 1967.Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.
Le roman met en scène un personnage-narrateur, Meursault, vivant en Algérie française. Le protagoniste reçoit un télégramme lui annonçant que sa mère vient de mourir. Il se rend à l’asile de vieillards de Marengo près d’Alger et assiste à la veillée funèbre, puis à la mise en bière et aux funérailles sans prendre l’attitude de circonstance que l’on attend d’un fils endeuillé. Le héros ne pleure pas, ne veut pas simuler un chagrin qu'il ne ressent pas.Après l'enterrement, Meursault décide d'aller nager, et rencontre Marie, une dactylo qu'il connaissait. Ils vont voir un film de Fernandel et passent la nuit ensemble. Le lendemain, il rencontre Raymond Sintès (un voisin de palier) qui lui demande d'écrire une lettre pour humilier sa maîtresse mauresque. Ce dernier est souteneur et s’est montré brutal avec celle-ci ; il craint des représailles du frère de celle-ci. La semaine suivante, Raymond frappe et injurie cette femme, et est convoqué au commissariat. En en sortant, il invite Meursault et Marie dans un cabanon au bord de la mer, appartenant à son ami Masson. Marie demande à Meursault s'il veut se marier avec elle, il répond que ça n'a pas d'importance, mais qu'il le veut bien.
Le dimanche, après un repas bien arrosé, Meursault, Raymond et Masson se promènent sur la plage, et croisent un groupe d'Arabes, dont l’un est le frère de la jeune femme. Une bagarre éclate, au cours de laquelle Raymond est blessé au couteau. Plus tard, Meursault marche seul sur la plage, il est accablé par la chaleur et le soleil, il rencontre à nouveau l’un des Arabes, couché à l’ombre d’une source, qui à sa vue montre son couteau. Meursault sort de sa poche le revolver de Raymond, abruti par la luminosité, par la touffeur, ébloui par le reflet du soleil sur la lame du couteau, il tire et tue l’Arabe sans le moindre état d'âme par 5 coups de revolver. C’est la fin de la première partie.
Dans la seconde moitié du roman, Meursault est arrêté et questionné, ses propos sincères et naïfs mettent son avocat mal à l'aise. Il ne manifeste aucun regret. En prison, pendant que son procès se prépare, il tue le temps en dormant, en lisant (en particulier un article de journal qui relate un fait divers, qui constitue en fait l'intrigue de la pièce de théâtre Le Malentendu). Puis le procès a lieu; on l'interroge plus sur son comportement lors de l'enterrement de sa mère que sur son meurtre. Meursault se sent exclu du procès. Il avoue avoir commis son acte à cause du soleil, ce qui déclenche l'hilarité de l'audience. La sentence tombe : il est condamné à la guillotine. Meursault voit l’aumônier, mais quand celui-ci lui dit qu'il priera pour lui, il déclenche la colère de Meursault. Après son départ, le condamné à mort finit par trouver la paix dans la sérénité de la nuit
vendredi 10 juin 2011
LITTERATURE DE L'ABSURDE
Cette notion, qui produit un effet de non-sens, est souvent utilisée pour désigner un certain type de littérature. Parmi les romans les plus connus traitant de l'absurde figure L'Étranger d'Albert Camus.
La littérature de l'absurde, majoritairement représentée par le théâtre de l'absurde, est née après la Seconde Guerre mondiale. On qualifie ainsi de nombreuses pièces d'Eugène Ionesco, Samuel Beckett ou encore Fernando Arrabal.
La littérature de l'absurde, majoritairement représentée par le théâtre de l'absurde, est née après la Seconde Guerre mondiale. On qualifie ainsi de nombreuses pièces d'Eugène Ionesco, Samuel Beckett ou encore Fernando Arrabal.
La Plume Et Le Glaive Caligula Et La Création Littéraire Chez Camus
Résumé
Pour Albert Camus, la littérature était à la fois une activité essentielle à son bonheur et un objet de réflexion. Afin de saisir quelle conception de la littérature et quelle vision du rôle de l’écrivain se dégagent de son oeuvre, ce mémoire aborde dans un même mouvement ses deux principaux essais, Le Mythe de Sisyphe et L’Homme révolté, et une pièce de théâtre, Caligula. Notre premier chapitre consiste dans la recherche de ce qui, pour Camus, fait de la création artistique une activité privilégiée dans l’horizon de la pensée de l’absurde et de la révolte. Dans le deuxième chapitre, les différents commentaires émis par la critique à propos de Caligula seront examinés. La pièce, malgré l’opinion dominante, ne raconte pas l’histoire d’un empereur absurde qui se révolte contre son destin. L’importance du thème de la création littéraire dans cette pièce a également été grandement sous-estimée. Enfin, le troisième chapitre de ce mémoire présente notre propre analyse de la pièce. La confrontation de la fiction avec la théorie révèle une grande concordance entre les deux aspects de l’œuvre de Camus. L’accord n’est cependant pas parfait, et l’étude des points de...
Pour Albert Camus, la littérature était à la fois une activité essentielle à son bonheur et un objet de réflexion. Afin de saisir quelle conception de la littérature et quelle vision du rôle de l’écrivain se dégagent de son oeuvre, ce mémoire aborde dans un même mouvement ses deux principaux essais, Le Mythe de Sisyphe et L’Homme révolté, et une pièce de théâtre, Caligula. Notre premier chapitre consiste dans la recherche de ce qui, pour Camus, fait de la création artistique une activité privilégiée dans l’horizon de la pensée de l’absurde et de la révolte. Dans le deuxième chapitre, les différents commentaires émis par la critique à propos de Caligula seront examinés. La pièce, malgré l’opinion dominante, ne raconte pas l’histoire d’un empereur absurde qui se révolte contre son destin. L’importance du thème de la création littéraire dans cette pièce a également été grandement sous-estimée. Enfin, le troisième chapitre de ce mémoire présente notre propre analyse de la pièce. La confrontation de la fiction avec la théorie révèle une grande concordance entre les deux aspects de l’œuvre de Camus. L’accord n’est cependant pas parfait, et l’étude des points de...
EXTRAIT ABSURDE CAMUS
Un Raisonnement Absurde Camus
Un raisonnement absurde
Pour Camus, la question fondamentale , la question primordiale est celle du choix entre le suicide ou la vie. « Juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d’être vécue c’est répondre à la question fondamentale de la philosophie ». Les autres raisonnement philosophiques ne peuvent qu’être secondaires et suivre celui-ci, puisqu’il détermine l’existence. Peu de gens acceptent la mort pour l’argument ontologique : pour une vérité scientifique par exemple. Mais combien sont ceux qui sont morts parce que la vie ne valait pas la peine d’être vécue, ou au contraire pour des idées qui étaient leur raison de vivre ? « Ce qu’on appelle une raison de vivre est en même temps une excellente raison de mourir ». C’est donc que le sens de la vie est la question essentielle. Camus propose de trouver l’équilibre entre lyrisme et évidence, un équilibre qui permettrait d’accéder à l’émotion et à la clarté, d’user du bon sens et de sympathie « dans un sujet à la fois si humble et si chargé de pathétique »
Camus considère le suicide comme une œuvre préparée dans le silence du cœur « L’homme lui même l’ignore, un soir il tire, ou il plonge ». On se suicide rarement par réflexion, il y a presque toujours un événement déclencheur. Mais quelles sont les conséquences d’un tel geste ? Le suicide est un aveu de faiblesse. « Se tuer en un sens, et comme au mélodrame, c’est avouer qu’on est dépassé par la vie, ou qu’on ne la comprend pas ». Se suicider, c’est reconnaître qu’il n’y a pas de véritable raison de vivre, que les actions guidées par l’habitude sont insignifiantes, que vivre, mourir est inutile.
Dans un univers qui ne peut s’expliquer sans illusion, l’homme se sent un étranger. Il se produit un divorce entre l’homme et le monde, entre « l’acteur et son décor ». L’idée d’absurde implique l’idée d’aspiration vers le néant. L’homme voulant s’accorder avec lui même doit-il s’échapper de cette condition incompréhensible. Les gens qui vivent pensent qu’il faut...
Pour Camus, la question fondamentale , la question primordiale est celle du choix entre le suicide ou la vie. « Juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d’être vécue c’est répondre à la question fondamentale de la philosophie ». Les autres raisonnement philosophiques ne peuvent qu’être secondaires et suivre celui-ci, puisqu’il détermine l’existence. Peu de gens acceptent la mort pour l’argument ontologique : pour une vérité scientifique par exemple. Mais combien sont ceux qui sont morts parce que la vie ne valait pas la peine d’être vécue, ou au contraire pour des idées qui étaient leur raison de vivre ? « Ce qu’on appelle une raison de vivre est en même temps une excellente raison de mourir ». C’est donc que le sens de la vie est la question essentielle. Camus propose de trouver l’équilibre entre lyrisme et évidence, un équilibre qui permettrait d’accéder à l’émotion et à la clarté, d’user du bon sens et de sympathie « dans un sujet à la fois si humble et si chargé de pathétique »
Camus considère le suicide comme une œuvre préparée dans le silence du cœur « L’homme lui même l’ignore, un soir il tire, ou il plonge ». On se suicide rarement par réflexion, il y a presque toujours un événement déclencheur. Mais quelles sont les conséquences d’un tel geste ? Le suicide est un aveu de faiblesse. « Se tuer en un sens, et comme au mélodrame, c’est avouer qu’on est dépassé par la vie, ou qu’on ne la comprend pas ». Se suicider, c’est reconnaître qu’il n’y a pas de véritable raison de vivre, que les actions guidées par l’habitude sont insignifiantes, que vivre, mourir est inutile.
Dans un univers qui ne peut s’expliquer sans illusion, l’homme se sent un étranger. Il se produit un divorce entre l’homme et le monde, entre « l’acteur et son décor ». L’idée d’absurde implique l’idée d’aspiration vers le néant. L’homme voulant s’accorder avec lui même doit-il s’échapper de cette condition incompréhensible. Les gens qui vivent pensent qu’il faut...
jeudi 9 juin 2011
mardi 7 juin 2011
Albert Camus : Le Mythe de Sisyphe : L'origine du sentiment de l'absurde
Inspiré par la pensée du midi, il fait le rapprochement entre la vie comme un éternel recommencement obéissant à de grands cycles du lambda avec Sisyphe, héros de la mythologie grecque. Pourquoi une telle punition ? Camus cite plusieurs versions du mythe, la plupart expliquant la punition de Sisyphe par une insulte faite aux dieux. Une version prête à Sisyphe, mourant, la volonté d'éprouver l'amour de sa femme, en lui demandant de ne pas lui donner de sépulture et de jeter son corps sur la place publique, après sa mort. Selon une autre version, Sisyphe découvrit la liaison entre le maître de l'Olympe, Zeus, et Égine ; il s'en alla monnayer l'information auprès du père, le fleuve Asopos. En échange de sa révélation il reçoit une fontaine pour sa citadelle. Sa trop grande perspicacité irrita les dieux qui le condamnèrent à porter un bandeau et à pousser au sommet d'une montagne un rocher, qui roule inéluctablement vers la vallée avant que le but du héros ne soit atteint.
lundi 6 juin 2011
POEME ABSURDE
INSOMNIE
Seul dans mon lit, dans le noir, seul dans l'infini,
Je pense, ressasse, regrette, j'imagine, déprime;
Je m'interroge sur le comment de faire les rimes.
Je place un solécisme, emphase et nostalgie.
Seul dans mon lit, dans le noir, seul dans mon esprit,
Je pleure et souffre, jouie et rie, murmure et crie;
Autant de sentiments mêlés tombant dans l'abîme
De mon âme que ton absence a rendue infirme.
Seul dans mon lit, dans le noir, seul dans l'ennui,
Voilà un poème fait d'absurde et d'eau croupie,
Poème rédigé par une nuit d'insomnie,
Confus, indéchiffrable et complexe comme ma vieXievsarg
Seul dans mon lit, dans le noir, seul dans l'infini,
Je pense, ressasse, regrette, j'imagine, déprime;
Je m'interroge sur le comment de faire les rimes.
Je place un solécisme, emphase et nostalgie.
Seul dans mon lit, dans le noir, seul dans mon esprit,
Je pleure et souffre, jouie et rie, murmure et crie;
Autant de sentiments mêlés tombant dans l'abîme
De mon âme que ton absence a rendue infirme.
Seul dans mon lit, dans le noir, seul dans l'ennui,
Voilà un poème fait d'absurde et d'eau croupie,
Poème rédigé par une nuit d'insomnie,
Confus, indéchiffrable et complexe comme ma vieXievsarg
UNE BLAGUE ABSURDE
- Absurdes - Fous -
dans un asile.
- je suis pas fou, je suis pas fou
- moi non plus
- oui toi tu es fou, mais moi non, et pour te le prouver se soir je m´echappe
- mais comment tu vas faire les murs sont trop haut et le portail est fermé.
- j ai repéré une echelle dans le jardin, je la pose sur le portail, arrivé au somet je la passe de l´autre coté, et, hop tchao...
- mais c´est vrai toi tu n est pas fou
le lendemais matin
- mais tu es encore la ? tu n´a pas pu t´echapper ?
- ne m´en parles pas
- les gardes ton vue ?
- non !
- tu n a pas trouvé l´echelle ?
- si ! mais le portail été ouvert je n´ai pas pu la poser
- je suis pas fou, je suis pas fou
- moi non plus
- oui toi tu es fou, mais moi non, et pour te le prouver se soir je m´echappe
- mais comment tu vas faire les murs sont trop haut et le portail est fermé.
- j ai repéré une echelle dans le jardin, je la pose sur le portail, arrivé au somet je la passe de l´autre coté, et, hop tchao...
- mais c´est vrai toi tu n est pas fou
le lendemais matin
- mais tu es encore la ? tu n´a pas pu t´echapper ?
- ne m´en parles pas
- les gardes ton vue ?
- non !
- tu n a pas trouvé l´echelle ?
- si ! mais le portail été ouvert je n´ai pas pu la poser
LE MINISTRE DE L(AGRICULTURE
ALGERIEN A REPONDU ,a un journaliste qui luia demande la cause de la penurie du lait en sachet dans le pays,qu e les penuries s'expliquent par le fait que les algeriens prennent beaucoupde alit par apport a la consommation mondiale par individu
reponse absurde sans equivoque
il aurait ete plus sage de dire que la cause c'etait en grande partie due a l'insuffisnce de production.
comme quoi l'absurde ne tue pas
reponse absurde sans equivoque
il aurait ete plus sage de dire que la cause c'etait en grande partie due a l'insuffisnce de production.
comme quoi l'absurde ne tue pas
DEFINISSONS L'ABSURDE
Le dictionnaire donne deux sens à l'adjectif " absurde" : selon qu'il s'agit du sens habituel, il signifie : contraire à la raison et au sans commun et propose comme synonyme déraisonnable, insensé, mais aussi extravagant, saugrenu, stupide ; selon qu'il désigne un sens philosophique il désigne l'existence comme ne paraissant pas justifiée par aucune fin dernière
L'ABSURDE
On connaît l'histoire de ce fou
qui pêchait dans une baignoire ;
un médecin qui avait ses idées
sur les traitements psychiatriques
lui demandait : " si ça mordait"
se vit répondre avec rigueur :
" mais non imbécile, puisque
c'est une baignoire." [...] l'effet
absurde est lié à un excès de
logique. Le monde de Kafka est
à la vérité un univers indicible où
l'homme se donne le luxe torturant
de pêcher dans une baignoire,
sachant qu'il n'en sortira rien." ( Camus)
qui pêchait dans une baignoire ;
un médecin qui avait ses idées
sur les traitements psychiatriques
lui demandait : " si ça mordait"
se vit répondre avec rigueur :
" mais non imbécile, puisque
c'est une baignoire." [...] l'effet
absurde est lié à un excès de
logique. Le monde de Kafka est
à la vérité un univers indicible où
l'homme se donne le luxe torturant
de pêcher dans une baignoire,
sachant qu'il n'en sortira rien." ( Camus)
LE THEME DES 3 COFFRETS
CE THEME SI CHER A MR FREUD DANS ESSAIS DE PSYCHANALISE APPLIQUEE
nous devoile cet home qui pour choisir sa fiancee parmis trois princesse doit faire le choix entre trois coffret.l'un en or ,l'autre en argent et le troisieme en plomb...
l(homme jette son devolu sur le plomb et donc prend la troisieme fille et freud nous explique que le plomb est muet comme la troisieme princesse ce qui a guide l'home dans son choix
le but de c blog est de montrer l'absurde coimme a borde par albert camus
pour moi ce theme des 3 coffrets est l'exemple tupe de l'absurdite
nous devoile cet home qui pour choisir sa fiancee parmis trois princesse doit faire le choix entre trois coffret.l'un en or ,l'autre en argent et le troisieme en plomb...
l(homme jette son devolu sur le plomb et donc prend la troisieme fille et freud nous explique que le plomb est muet comme la troisieme princesse ce qui a guide l'home dans son choix
le but de c blog est de montrer l'absurde coimme a borde par albert camus
pour moi ce theme des 3 coffrets est l'exemple tupe de l'absurdite
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